Gestion des matières dangereuses et résiduelles
L'APSAM, en collaboration avec l'APSSAP, a élaboré le plan d'action suivant :
Plan d'action sur la gestion des matières dangereuses et résiduelles
Voir également le document Recommandations pour une gestion sécuritaire des matières dangereuses : document de travail de l'Alliance pour la gestion sécuritaire des matières dangereuses.
Entreposage et contrôle des déversements
- Contrôle des déversements : avez-vous besoin d'un « kit »? (Auto prévention, vol. 35, no 4, décembre 2021, p. 10-11)
- Entreposage des matières dangereuses (CNESST)
- Entreposage des produits dangereux dans le secteur manufacturier : guide (MultiPrévention)
- Entreposage des matières dangereuses : guide pratique (Services de protection de l’environnement des cantons de la Suisse du Nord-Ouest, de Thurgovie et de Zurich, ainsi que par l'assurance immobilière du canton de Zurich)
- Matières dangereuses : cinq étapes pour un entreposage sécuritaire (CSST, Prévention au travail, printemps 2014)
- Cherchez l’erreur : l’entreposage de matières dangereuses (CNESST, Prévention au travail, vol. 23, no 3, été 2010, p. 5-6)
Solvants
- Solvants verts : fondements, santé, sécurité, environnement et substitution (IRSST)
L’utilisation de solvants dans de nombreuses applications (dégraissage, nettoyage, décapage, imprimerie, peintures, adhésifs, fabrication de produits pharmaceutiques) constitue une préoccupation majeure. En effet, un grand nombre d’entre eux sont associés à des effets nocifs, tant sur la santé et la sécurité des travailleurs (brûlure, cancer, dermatite, encéphalopathie, fœtotoxicité, polynévrite) que sur l’environnement et la santé de la population générale (précurseurs de smog, pollution des eaux, couche d’ozone). Par ailleurs, de plus en plus d’entreprises veulent prendre le virage vert, c.-à-d. faire en sorte que leurs activités et leurs produits s’inscrivent dans la démarche du développement durable. C’est dans ce contexte que sont apparus des solvants diversement qualifiés de verts, écologiques, biodégradables, durables. Or, il n’est pas toujours clair dans quelle mesure ces « solvants verts » sont effectivement respectueux de l’environnement ou sans danger pour ceux et celles qui sont exposés à ces produits. L’objectif de la présente étude consistait donc à produire une monographie présentant de façon synthétique et critique les connaissances sur les aspects sanitaires, sécuritaires, environnementaux, techniques, réglementaires et normatifs des solvants qualifiés comme verts. - Solub : démarche de substitution des solvants en milieu de travail (IRSST et Université de Montréal)
Dans ce site, on trouve également des Fiches Solub de substitution par utilisation, notamment pour les utilisations suivantes : - Substitution du dichlorométhane – Rapport de recherche scientifique no R-1207-fr (IRRST)
Selon CAREX Canada, 22 000 travailleuses et travailleurs canadiens étaient exposés en 2016 au dichlorométhane (DCM), incluant 5 600 travailleuses et travailleurs québécois. Le DCM est notamment utilisé comme solvant dans les décapants à peinture et les dégraissants, comme milieu réactionnel dans la synthèse de produits pharmaceutiques et de pesticides et comme solvant pour l’extraction de substances organiques. La toxicité du DCM a mené à son interdiction dans l’Union européenne dans les décapants à peinture depuis 2012 et de nouvelles réglementations se mettent en place [...] afin d’interdire ou de limiter son utilisation. - Les solvants : manipulation sécuritaire (MultiPrévention)
- Prévenir les risques liés aux solvants (INRS)
- En esthétique automobile : réduisez l'usage des solvants pour protégez votre santé et celle de vos collègues (Auto prévention, vol. 33, no 1, mars 2019, page 12)