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Les travaux d’aménagement paysager et d’horticulture nécessitent de réaliser plusieurs tâches et comportent leur lot de risques à la sécurité, à la santé et à l’intégrité physique. Par l’entremise de cet exercice, sous forme de « vrai ou faux », l’APSAM souhaite vous aider à identifier, contrôler et éliminer certains de ces risques.

1. La majorité des lésions déclarées dans le secteur de l'horticulture et dans l'entretien des parcs sont attribuables aux troubles musculo-squelettiques.

2. L’aire de travail de travaux d'aménagement paysager et d'horticulture qui sont effectués à proximité d'un réseau routier doit simplement être délimitée par des cônes et des clôtures.

3. Les outils motorisés utilisés (ex. : coupe-gazon, tondeuse, débroussailleuse, scie à chaîne) comportent des risques importants à l’intégrité physique dont celui de coupure et peuvent causer des lésions permanentes, voire mortelles.

4. L’utilisation d’un tracteur à pelouse et d’une tondeuse à siège sont adaptés à la tonte de pentes raides et abruptes.

5. Il est obligatoire de suivre une formation spécialisée pour l’utilisation de la scie à chaîne.

6. La législation interdit à une personne de travailler seule dans un endroit.

7. Les animaux errants qui sont domestiqués comme les chiens ne sont pas à craindre et peuvent être approchés.

8. Les travailleurs qui se savent allergiques au venin d’abeille ou de guêpe sont les seuls qui peuvent développer une grave réaction à la suite d’une piqûre.

9. Un incident impliquant une seringue souillée peut amener à la transmission d’une infection mortelle comme le virus de l’hépatite B, le virus de l’hépatite C et le virus du sida.

10. Les seules plantes nuisibles dont il faut se méfier au Québec sont l'herbe à poux et l’herbe à puces.

11. La sève et le pollen des plantes nuisibles adhèrent longtemps sur les vêtements et sur les outils.

12. La meilleure façon de prévenir les risques inhérents à la manipulation et l’utilisation des pesticides (ex. : brûlures, étourdissements) est de porter des ÉPI comme une protection respiratoire et des gants résistants aux produits chimiques.

13. Si c’est le début d’une canicule ou si le travailleur est nouvellement embauché, ce dernier est plus susceptible de souffrir d'un coup de chaleur.

14. L'intensité du rayonnement ultraviolet transmis par la lumière solaire n’est pas particulièrement élevée au Québec de sorte qu’il est seulement nécessaire d’appliquer une protection solaire en mi-journée.

Groupe de liaison